Avancer malgré la peur, et non pas sans elle.
Pendant longtemps, j’ai attendu que la peur disparaisse pour agir.
Je me disais : « Quand je n’aurai plus peur, je pourrai voyager, sortir, profiter de la vie. »
Mais la vérité c’est que la peur ne s’efface pas comme par magie...
Le jour où j’ai compris que je pouvais agir avec la peur, même tremblante, même hésitante, j’ai commencé à reprendre ma liberté.
N’attendez pas d’être « guéri » pour vivre. Chaque petite action compte, même si elle est accompagnée de peur.
Créer son propre rythme de guérison
Il n’y a pas de « bonne vitesse ». Certains progresseront vite, d’autres mettront des années. Et c’est très bien ainsi. Step by step.
Moi, j’ai mis beaucoup de temps à accepter que ma progression ne ressemblait pas à celles des autres.
Étant diagnostiqué agoraphobe très jeune, j’ai toujours ressenti un décalage avec les autres. C’était très difficile à accepter mais au bout d’un moment j’ai cessé de me comparer, j’ai ressenti moins de pression et les progrès sont venus plus naturellement.
Petit conseil : fixez un rythme qui vous ressemble. Même une seule petite victoire par mois, c’est une victoire.
Se rappeler que les rechutes font partie du chemin
Il y a eu des jours où je pensais avoir « gagné », que c’était derrière moi, puis une crise est revenue, de nouvelles angoisses.
Je me disais : « Tout est fichu, je recommence à zéro. »
Avec le temps, j’ai compris que les rechutes ne sont pas des échecs, mais des étapes normales de l’apprentissage.
Chaque fois, j’en ressortais avec une meilleure connaissance de moi-même.
Vous n’êtes pas en arrière quand vous rechutez. Vous continuez à avancer, juste sur un chemin qui n’est pas linéaire.
Pendant longtemps, j’ai attendu que la peur disparaisse pour agir.
Je me disais : « Quand je n’aurai plus peur, je pourrai voyager, sortir, profiter de la vie. »
Mais la vérité c’est que la peur ne s’efface pas comme par magie...
Le jour où j’ai compris que je pouvais agir avec la peur, même tremblante, même hésitante, j’ai commencé à reprendre ma liberté.
N’attendez pas d’être « guéri » pour vivre. Chaque petite action compte, même si elle est accompagnée de peur.
Créer son propre rythme de guérison
Il n’y a pas de « bonne vitesse ». Certains progresseront vite, d’autres mettront des années. Et c’est très bien ainsi. Step by step.
Moi, j’ai mis beaucoup de temps à accepter que ma progression ne ressemblait pas à celles des autres.
Étant diagnostiqué agoraphobe très jeune, j’ai toujours ressenti un décalage avec les autres. C’était très difficile à accepter mais au bout d’un moment j’ai cessé de me comparer, j’ai ressenti moins de pression et les progrès sont venus plus naturellement.
Petit conseil : fixez un rythme qui vous ressemble. Même une seule petite victoire par mois, c’est une victoire.
Se rappeler que les rechutes font partie du chemin
Il y a eu des jours où je pensais avoir « gagné », que c’était derrière moi, puis une crise est revenue, de nouvelles angoisses.
Je me disais : « Tout est fichu, je recommence à zéro. »
Avec le temps, j’ai compris que les rechutes ne sont pas des échecs, mais des étapes normales de l’apprentissage.
Chaque fois, j’en ressortais avec une meilleure connaissance de moi-même.
Vous n’êtes pas en arrière quand vous rechutez. Vous continuez à avancer, juste sur un chemin qui n’est pas linéaire.
Cultiver l’espoir au quotidien
L’agoraphobie a parfois assombri mes journées. Mais même dans les moments les plus lourds, j’ai trouvé des petites lumières comme : Lire un livre qui m’inspirait. Écouter une chanson qui me donnait de la force. Fabriquer quelque chose de mes mains. Noter trois petites choses positives chaque soir.
Ces gestes minuscules m’ont rappelé qu’au-delà de ma peur, il y avait encore de la vie, et qu’elle valait la peine d’être vécue !
Ces gestes minuscules m’ont rappelé qu’au-delà de ma peur, il y avait encore de la vie, et qu’elle valait la peine d’être vécue !
Regarder vers l’avenir
Aujourd’hui je ne prétends pas avoir totalement « vaincu » l’agoraphobie. Mais j’ai appris à vivre avec, à l’apprivoiser, à ne plus la laisser diriger toute ma vie.
Si je pouvais donner un dernier conseil à celui ou celle qui lit ces lignes, ce serait : ne sous-estimez jamais le courage qu’il vous faut chaque jour pour continuer. Vous êtes bien plus fort que vous ne le croyez.
Votre vie n’est pas finie, elle est en train de se reconstruire, à votre façon, à votre rythme. Et chaque pas compte.
Si je pouvais donner un dernier conseil à celui ou celle qui lit ces lignes, ce serait : ne sous-estimez jamais le courage qu’il vous faut chaque jour pour continuer. Vous êtes bien plus fort que vous ne le croyez.
Votre vie n’est pas finie, elle est en train de se reconstruire, à votre façon, à votre rythme. Et chaque pas compte.
Conclusion
Ce guide n’a pas pour but de donner une recette magique, mais de partager une expérience : celle d’une personne qui, comme vous, a ressenti la peur, l’enfermement, la solitude… mais qui a aussi découvert qu’il existait toujours des chemins pour avancer.
Vous n’êtes pas seul(e). Vous n’êtes pas condamné(e). Vous êtes en chemin, et c’est déjà une victoire immense.
Gardez confiance. Votre avenir vous attend.
Vous n’êtes pas seul(e). Vous n’êtes pas condamné(e). Vous êtes en chemin, et c’est déjà une victoire immense.
Gardez confiance. Votre avenir vous attend.